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Photo prise lors de la confé­rence inau­gu­rale de l’association, le 14 juin 2022, au musée des Moulages de l’Hôpital Saint-Louis à Paris.

L’Humain au Cœur du Soin réunit des soi­gnants, des cher­cheurs issus de diverses dis­ci­plines et des patients. L’association est ouverte à toutes les per­sonnes dési­reuses de renouer avec une approche plus glo­bale du soin.

Le conseil d’administration

Le docteur Claire Georges, présidente de l'association L'humain au cœur du soin

Claire Georges

Praticien hos­pi­ta­lier, res­pon­sable médi­cale de la PASS de l’hôpital Saint-Louis (Verlaine) depuis 2006. Elle est pré­si­dente de l’association Collectif PASS depuis sa consti­tu­tion en 2011, deve­nue asso­cia­tion Collectif natio­nal des PASS en 2016.

Ancienne interne et cheffe de cli­nique des hôpi­taux de Paris en rhu­ma­to­lo­gie, elle est titu­laire d’un DEA de san­té publique et d’un mas­ter d’éthique.

Présidente de l’as­so­cia­tion L’humain au cœur du soin

Claire Georges est à l’o­ri­gine d’un ouvrage deve­nu, aujourd’­hui, une réfé­rence en la matière : Soigner l’hu­main, mani­feste pour un juste soin au juste coût, publié aux PRESSES DE L’EHESP. Ce mani­feste convain­cant, qui est le fruit d’une réflexion vision­naire et d’une ana­lyse prag­ma­tique, nous livre toutes les clés pour amor­cer une évo­lu­tion ver­tueuse de notre sys­tème de san­té. Il a reçu l’ap­pui de très nom­breux contributeurs.

Renaud Vidal, membre du bureau de l'association L'humain au cœur du soin.

Renaud Vidal

Renaud est cher­cheur en haute fia­bi­li­té orga­ni­sa­tion­nelle et spé­cia­li­sé en sense-making, qui désigne l’étude des pro­ces­sus indi­vi­duels et orga­ni­sa­tion­nels qui per­mettent de répondre aux ques­tions : « Que se passe-t-il ? » et « Que devons-nous faire ? ». Après avoir conduit ses tra­vaux dans les domaines de la sécu­ri­té civile, il s’intéresse depuis quelques années à l’organisation des soins. Renaud est affi­lié au Center for Catastrophic Risk Management de l’Université de Californie, Berkeley. Il dirige éga­le­ment le dépar­te­ment Innovation de la socié­té ATRISC spé­cia­li­sée dans la ges­tion des risques.

Ingénieur Civil des Mines de Paris, Renaud est titu­laire d’une thèse en ges­tion pas­sée à l’IAE d’Aix-en-Provence et l’Université de Californie, Berkeley.

Membre du bureau de l’association

Coordinateur du pro­jet GAÏA

Mathilde Catala, médecin généraliste

Mathilde Catala

Médecin géné­ra­liste, j’exerce au sein de la mai­son de san­té plu­ri-pro­fes­sion­nelle Jean Jaurès dans le XIXe arron­dis­se­ment de Paris et à la PASS de l’hô­pi­tal Saint-Louis depuis 2017.

Membre du bureau de l’association

Auriane Cabannes

Je suis méde­cin géné­ra­liste en mai­son de san­té plu­ri-pro­fes­sion­nelle, où j’ef­fec­tue éga­le­ment des consul­ta­tions de pédia­trie et de gyné­co­lo­gie. Je suis par ailleurs ensei­gnante atta­chée au dépar­te­ment de méde­cine géné­rale de l’Université de Paris. En novembre 2021, je fais mes débuts dans un poste de PHC « ville-hôpi­tal » au ser­vice PASS qui me per­met­tra de tra­vailler davan­tage sur la coor­di­na­tion entre le ser­vice PASS et les autres res­sources du territoire.

Laura Maspeyrat

Je suis étu­diante en troi­sième année de méde­cine à Marseille, diplô­mée de la Sorbonne et de Sciences Po Paris en Santé Publique. J’ai effec­tué de nom­breux stages dans des enti­tés publiques (Institut de Recherche pour le Développement, Institut National d’Études Démographiques, PASS de l’hôpital Saint-Louis, minis­tère de la Santé) afin de tra­vailler sur l’élaboration et l’évaluation des poli­tiques publiques de santé.

Jeanne Testard

Je suis diplô­mée d’un mas­ter en mana­ge­ment de réseaux d’entreprises à l’Université de Strasbourg. J’ai rejoint la socié­té ATRISC aux côtés de Renaud Vidal pour l’épauler sur ses dif­fé­rents projets.

J’ai la charge de l’organisation des évé­ne­ments et de l’animation du réseau de l’association.

Cellule de com­mu­ni­ca­tion – valo­ri­sa­tion des projets

Le docteur Côme Bommier, hématologue, membre de l'association L'humain au cœur du soin

Côme Bommier

Hématologue, cher­cheur en épi­dé­mio­lo­gie cli­nique et en éthique médi­cale, secré­taire géné­ral de la Société Française et Francophone d’Éthique Médicale, rédac­teur asso­cié du jour­nal Ethics Medicine & Public Health, co-fon­da­teur de l’Équipe Pédagogique en Éthique et Intégrité Scientifique (Paris Cité).

« Investi dans le champ de l’éthique médi­cale depuis plus de dix ans, je sou­haite désor­mais implé­men­ter ces savoirs dans ma pra­tique médi­cale d’hématologue, au ser­vice des patients, des confrères, des col­lègues et plus lar­ge­ment de l’hôpital public. Je crois que notre asso­cia­tion est le début d’un nou­veau mou­ve­ment huma­niste au sein de l’hôpital, per­met­tant un dia­logue par-delà les cloi­sons de l’hôpital et des spé­cia­li­tés. Cet enga­ge­ment, por­teur de sens, sera notre meilleure arme de rési­lience face aux obs­tacles à venir ! »

Photo de Gwenaëlle Creff, secrétaire de l'association L'humain au cœur du soin

Gwenaëlle Creff

« Je suis la secré­taire de la PASS et de l’Équipe Mobile d’Accompagnement et de Soins Palliatifs à l’hôpital Saint-Louis. Ces deux ser­vices accordent un temps impor­tant à l’écoute et à l’ac­cueil de la per­sonne dans sa glo­ba­li­té, avec ses dif­fi­cul­tés, ses incom­pré­hen­sions. Face à des situa­tions dif­fi­ciles, une soli­da­ri­té se crée entre pro­fes­sion­nels, avec et pour le patient, dans le but de trou­ver des solu­tions pour le sou­te­nir dans l’épreuve. L’humain au cœur du soin, c’est appor­ter du récon­fort aux patients et à leurs proches qui n’ont pas choi­si d’être à l’hôpital, mais éga­le­ment au per­son­nel qui souffre des condi­tions de tra­vail dif­fi­ciles, et pour qui le soin rela­tion­nel, par­fois mis de côté pour faire face au plus urgent, reste le cœur même de leur métier. »

Membre du bureau de l’association

Gisèle FACE

« Assistante sociale, je puise mon enga­ge­ment de l’accompagnement à l’autre dans des valeurs per­son­nelles, fami­liales. Mes parents étaient des per­sonnes enga­gées dans dif­fé­rentes causes, asso­cia­tives, poli­tiques, dont l’objectif était de ser­vir l’intérêt com­mun. Ils aimaient par­ti­ci­per aux œuvres et aux actions qui visaient la conser­va­tion ou la réha­bi­li­ta­tion de la digni­té humaine.

À mon tour, je repro­duis ces valeurs tour­nées vers l’humain et son envi­ron­ne­ment de vie. Elles sont conti­nuel­le­ment pré­sentes dans ma réflexion, dans mon enga­ge­ment, comme dans toute action qui a pour voca­tion de remettre l’humain au cœur des réelles pré­oc­cu­pa­tions sociétales. »

Membre du bureau de l’association

Gisèle Face est éga­le­ment l’au­teure d’un roman : Ma mère est morte,
Éd. Baudelaire, décembre 2022

Safae Terrisse, docteur en médecine, spécialisée en oncologie médicale

SAFAE TERRISSE

Praticien hos­pi­ta­lier à l’AP-HP de Paris (Hôpital Saint-Louis) depuis novembre 2020.
Titulaire d’un DES Oncologie médi­cale, Médecine (Université Paris Descartes), d’un Master of Science – MS, Oncologie et bio­lo­gie du can­cer (Université Paris-Saclay) et d’un doc­to­rat en Sciences, immu­no­lo­gie des tumeurs et immu­no­thé­ra­pie-micro­biote.

Membre du bureau de l’association

Harold Astre

Harold Astre

Chef du bureau « Innovation et recherche cli­nique » à la Direction géné­rale de l’offre de soins au sein du minis­tère char­gé de la san­té. Après un Master en Études et recherches poli­tiques et sociales et un Master en Affaires publiques de l’université Paris-Dauphine, il a inté­gré l’École des Hautes Études en Santé Publique (EHESP) en 2014 afin de suivre le cur­sus de direc­teur d’hôpital. Il a com­men­cé sa car­rière comme direc­teur de la recherche et de l’innovation au CHU de Poitiers de 2016 à 2018 puis il a occu­pé la fonc­tion de direc­teur de cabi­net de la Présidente de la confé­rence des direc­teurs géné­raux de CHU de 2018 à 2020, avant de rejoindre le minis­tère. Il s’intéresse depuis plu­sieurs années aux enjeux d’évaluation médio-éco­no­mique et orga­ni­sa­tion­nelle des par­cours des patients complexes.

Denis Mechali

Né le 22 février 1946. Praticien hos­pi­ta­lier à l’hôpital de Saint Denis (93) de 1981 à 2011. Médecin inter­niste, for­mé au soin pal­lia­tif via un groupe Balint dans les années 90, puis res­pon­sable d’un ser­vice de prise en charge du VIH/​SIDA. Travail en réseau « ville/​Hôpital » et impli­ca­tion asso­cia­tive en lien avec l’équipe de soins. Membre depuis 2012 de la Commission Nationale d’Agrément des Associations de défense des droits des usa­gers (CNA), com­mis­sion admi­nis­tra­tive tra­vaillant au déve­lop­pe­ment de la démo­cra­tie sani­taire. Membre fon­da­teur du col­lec­tif PASS en 2011 deve­nu col­lec­tif natio­nal des PASS (CNDP) en 2016. Participation depuis 2011 au conseil d’administration d’Interprétariat ser­vice migrants (ISM). Médiateur diplô­mé, via le DU « Médiation sociale » Paris 2 Assas 2016, com­plé­té par une for­ma­tion CNEH en sep­tembre 2022. Fonction béné­vole de média­teur médi­cal au centre hos­pi­ta­lier de Saint-Denis depuis 2013, membre de la com­mis­sion des usa­gers. Depuis octobre 2018, mis­sion de pro­mo­tion des PASS, de l’interprétariat pro­fes­sion­nel et de la média­tion, par conven­tion entre le CNDP et ISM.

Denis Mechali anime régu­liè­re­ment les ate­liers de lec­ture de l’as­so­cia­tion L’humain au cœur du soin. Il a été inter­viewé par Laure Maspeyrat dans un pod­cast : Lire, écrire et pan­ser le soin. Son expé­rience nous éclaire sur les dif­fi­cul­tés que connaissent aujourd’hui l’hôpital et le sys­tème de santé.

Jackie Platon, ancienne responsable du service social à l’hôpital Saint-Louis à Paris, membre du CA de L'humain au cœur du soin.

Jackie Platon

« Ancienne res­pon­sable du ser­vice social à l’hôpital Saint-Louis à Paris, j’ai tou­jours sou­hai­té accom­pa­gner les équipes dans l’attention aux autres et dans l’écoute des per­sonnes.
À ma retraite, j’ai natu­rel­le­ment dési­ré pour­suivre ces actions auprès du Collectif National Des PASS ain­si que dans l’association l’Humain au Cœur du Soin.
La réflexion que nous menons au sein de l’association veut por­ter au plus haut niveau ce tra­vail de lien fon­da­men­tal entre patients et soignants. »

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